Marie Lloret est une architecte d’intérieur, designer ou scénographe, sa volonté est de bousculer les codes, d’être atypique tout en respectant les volontés de ses clients.
Elle a une empreinte indélébile axée sur le recyclage et la récupération esthétique. Rien ne se perd, rien ne se jette, chaque objet peut toujours être réutilisé pour un autre décor, un autre meuble, et raconter une nouvelle histoire. Dans le but d’obtenir le résultat escompté, un recyclage de luxe.
Sa fille, Morgane, a rejoint son équipe il y a déjà quelques années en Europe, et s’est accaparé l’esprit de made in Diva. Elles sont connectées et quand l’une donne la note, l’autre écrit la chanson pour la chanter ensemble. En oubliant jamais que : « Nous chantons pour notre client, jamais pour nous »

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La naissance de l’Objet en Totem est issue d’un pont entre le recyclage et la reconversion esthétique. Sous un abat-jour en forme d’étole nonchalante, faite de perles de chutes de cuir entrelacées, s’élève un Totem … Un totem en assemblage d’objets uniques ou usuels, toujours hétéroclites, nés de l’art de la trouvaille. Une lumière décor pour combattre l’obsolescence programmée: nom donné par abus de langage à l’ensemble des techniques visant à réduire la durée de vie ou d’utilisation d’un produit afin d’en augmenter le taux de remplacement.

Cette oeuvre a été présentée dans le cadre de la COP 22 dans l’espace Holmarcom, qui expose l’éco-design marocain, Zone verte du village.

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